Non, Zinédine Zidane n’est pas quelqu’un de «lisse» et il est «libre de faire ce qu'il veut». Il s’en défend dans une interview à rallonge dans le quotidien L’Equipe, mercredi et prouve qu’il n’est pas homme (comme l’était le joueur...) à se laisser marcher dessus. Après les récentes attaques concernant son soutien pour le Qatar, l’ancien Ballon d’Or a décidé de mettre les choses au point. D’abord sur les sommes perçues pour soutenir la candidature qatari à l’organisation du Mondial 2022. Tous les chiffres dévoilés dans la presse seraient faux.
«On a parlé de dix, onze, douze, treize millions d’euros… Je vais le dire clairement: c’est n’importe quoi. Ce n’est pas le quart de ces sommes.» Mais pour des raisons de confidentialité, il ne peut pas dire combien exactement. Par ailleurs cet argent là aurait été redistribué par la Fondation Zidane. «Je n’ai pas fait ça pour l’argent. Je vais vous expliquer pourquoi. Quand j’ai arrêté de jouer au foot, le Qatar avait fait appel à moi pour jouer là-bas. Avec un chèque en blanc: je pouvais mettre la somme que je souhaitais. Moi, je ne voulais pas aller jouer au Qatar. En revanche, j’avais dit à ces gens: Un jour, je l’espère, je pourrai vous aider dans un projet bénéfique au futur du sport, du football particulièrement. Voilà.»
A ce sujet, l’humoriste Christophe Alévêque avait récemment parlé de «prostitution», avant de changer de ton face aux menaces juridiques de l’ancien joueur. «Ce sont des choses inacceptables, clame ZZ. Je me dis que c’est d’une hypocrisie incroyable. Des gens essaient de pourrir mon nom pour faire parler d’eux. Cette hypocrisie m’insupporte. C’est pour ça que j’ai attaqué cette personne en justice. Elle va payer pour ce qu’elle a dit.»
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